Préambule
Les médias et les instituts de sondage appartiennent à quelques milliardaires proches de Macron et des banquiers mondiaux.
Par conséquent, le matraquage de l’électeur désignant le camp des patriotes comme une horde raciste néo-nazie et l’affirmation journalière jusqu’à un jour de l’élection sa défaite assurée sont un conditionnement pavlovien.
De plus, le vote d’une bonne douzaine de millions de musulmans à qui l’on assure une déportation probable, sinon un statut de sous-citoyens ne peut qu’assurer leur défaite. Ajoutez à cela quelques anarchistes, mondialistes à qui l’on fait miroiter le paradis d’un monde sans frontières fait de paix et de bonheur dans ma fraternité universelle et le tour est joué.
Il n’y aura plus jamais de victoire des patriotes à des élections pseudo-démocratiques. Le monde décrit par Orwell est déjà en cours, mais qui peut savoir qui se cache derrière Big Brother ?
Même le plus fou des complotistes ne peut le dire. Et si c’était simplement un Dieu créé par les hommes qui s’appelle le « fric », transposition moderne du Veau d’Or des Hébreux de la Bible, un Dieu adoré par quelques individus prêts à détruire l’humanité pour augmenter son pouvoir.
Mais il n’est pas impossible de deviner qui sont ses grands prêtres et ses servants !
Désespérance d'un monde meilleur
Il est le plus puissant
Il règne en seigneur
Et pourtant il n’est rien
Qu’un chiffre sans valeur
Il crée l’adoration
Des hommes sans âme
En proie à la passion
D’un amour infâme
Vulgaire bout de papier
Devenant virtuel
Il cause les charniers
Dans un monde cruel
Car s’il vend des armes
C’est pour mieux prospérer
Et il crée l’alarme
Chez les peuples apeurés
Peu importe les douleurs
Il baigne dans le sang
Peu importe l’horreur
C’est du gain cent pour cent
Ce Dieu implacable
Ce Moloch éternel
N’est pas seul coupable
Dans ce crime éternel
On l’appelle le fric
Ce tueur en gants blancs
Écrase le public
Tout en les aveuglant
Ses meilleurs assistants
Vous l’aurez deviné
Les maîtres de l’Argent
Ce sont les financiers
Sommes-nous condamnés
Jusqu’à la fin des temps
À subir résignés
La loi de ce tyran
Méry-sur-Ourthe, le 26 avril 2022
Georges Bleuhay - en attente de publication
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