L’investiture présidentielle de Joe relayée en continu minute par minute par tous les médias aux ordres, tissée d'un leurre patriotique par la clique démocrate, n’est en fin de compte qu’une gigantesque tromperie pour attrape-nigauds. Absente d’un public de supporters de la gauche et de l’extrême-gauche mais de 200.000 drapeaux américains, l’intronisation est teintée d’une ambiance mortuaire. De son côté, le Président Donald, lui le fasciste et le suprémaciste Blanc comme le désignent les forces du Mal, reçoit à son arrivée en Floride un accueil enflammé et chaleureux de milliers de patriotes. Kamala, la nouvelle vice-présidente, égérie d’une Amérique noire et porte-drapeau du BLM, s’en trouve congestionnée de rage frisant l’apoplexie. Joe la calme et tous deux se rendent dans le bureau ovale de la Maison Blanche, laquelle l’est encore pour le moment. En effet, il faut savoir que selon les prévisions démographiques et d’après une étude sérieuse américaine la race noire dominera en nombre aux Etats-Unis en 2035.
Joe tombe sur le petit mot laissé par Donald sur son bureau. Une note courte qui rend Kamala folle de rage. Joe s'effondre dans sa chaise en se demandant si en final la fraude électorale massive orchestrée pourrait être vaine à l'avenir, pendant que Kamala pique une crise de nerfs dont les cris affolent le personnel de la Maison Blanche. Le médecin de garde et personnel de Joe accourt dans le bureau ovale mais se voit rabrouer vertement par Kamala. Celle-ci appelle et somme le directeur du FBI de se présenter immédiatement à la Maison Blanche. Le directeur du FBI, corpulent de la cinquantaine et ayant mené fonction durant le mandat de Donald Trump, est un homme averti, consciencieux mais patriote. Vingt minutes plus tard, un membre du service de sécurité frappe et ouvre la porte au directeur du FBI.
Après un échange de poignée de main dans une atmosphère tendue, le directeur du FBI est invité à s’asseoir, ce qu’il refuse. Il déteste ce président et sa complice Kamala dont il connaît tous les antécédents. Il sait aussi que Kamala le lui rend bien. Kamala, l’air farouche, lui exige d’engager tous ses agents possibles à la recherche de la personne et/ou de l’organisation qui a permis la diffusion sur internet du mot de Donald. Le directeur du FBI répond que ses agents ont bien d’autres choses importantes à faire en ce moment. Kamala se fâche et lui dit qu’en cas de refus d’obtempérer de sa part, il serait démis de sa fonction de directeur du FBI sur le champ et serait poursuivi pour faute grave envers le nouveau président. Le directeur du FBI, surpris et dégoûté par cet ignoble chantage, répond qu’il fera de son mieux, et quitte la Maison Blanche sachant déjà qu’il ne fera rien et qu’il reportera l’entièreté de cette conversation à une amie, juge conservatrice de la Cour suprême. Kamala, toujours déchaînée, propose à Joe de commencer séance tenante la procédure d’annulation des nombreuses actions de Trump avec des décrets exécutifs.
À suivre …
Bonum Sensum