Les provinces, pour lesquelles le président Trump est un instrument se sont vues confrontées aux médias de gauche « Fake News » et leur sondeurs alliés, Big Tech, les milliardaires de la classe des célébrités, Wall Street, qui se sont tous unis pour éradiquer l’empereur Trump. Pourtant, les « crétins » et les « laids », comme les appelle Joe Biden, sont venus par dizaines de millions du cœur et des campagnes des États-Unis le jour des élections afin que le pouvoir populaire prévaut. Le mouvement populiste nationaliste permis par Donald Trump, mais non défini par lui, vit encore pour combattre un autre jour contre les mondialistes corrompus représentés par le triste Biden, la gauche et l'extrême-gauche. Or, Trump sait que les Démocrates ont perpétré une fraude électorale généralisée en Pennsylvanie, au Michigan, au Wisconsin et ailleurs pour voler l’élection.
Alors que même les membres de son propre parti l’exhortent à perdre gracieusement, Trump a tout à fait le droit de veiller à ce que les lois électorales soient appliquées pour prévenir la fraude. En fait, il le doit aux 68 millions d'Américains qui ont voté pour lui. Dans une conférence de presse à Philadelphie, Giuliani, ancien maire de New York, a exposé une anomalie claire dans laquelle, contrairement à la loi de la Pennsylvanie, les observateurs électoraux Républicains ont été privés du droit de superviser le comptage de 120,000 bulletins en étant obligés de se tenir à 10 mètres de l’endroit où ils étaient comptés. Ils n’ont jamais pu voir le bulletin de vote lui-même, ils n’ont jamais pu voir s’il était bien marqué, correctement adressé, correctement signé à l’extérieur. Bien que l’on puisse penser qu’il y avait une sorte de comptage légitime ici à Philadelphie, c’était totalement illégitime !
L’équipe de Giuliani a également intenté une poursuite au Wisconsin, où il dit qu’après le retour des observateurs électoraux, à trois ou quatre heures du matin, environ 120.000 bulletins de vote ont été déposés en une fois en faveur de Biden. La campagne Trump a également déposé une plainte au Michigan mercredi, avec le directeur de campagne Bill Stepien affirmant que les observateurs républicains se sont vu refuser un accès significatif à de nombreux lieux de comptage pour observer l’ouverture des bulletins de vote et le processus de comptage, comme le garantit la loi du Michigan.
Il y a d’autres allégations de fraude ou d’irrégularités, de votes comptés tardivement et de collecte de votes présumés signalés dans tout le pays. Dans le Wisconsin, 300 bulletins de vote ont disparu lorsque le greffier municipal du canton de Willow est rentré chez lui malade et que personne n’a pu le trouver, rapporte le Washington Post.
Nous pouvons donc voir que, dans une élection aussi serrée, les préoccupations de Trump ne sont pas frivoles.
La fraude est corrosive ! Nous verrons où les poursuites aboutiront. Mais même si Trump perd, cela peut être une bénédiction déguisée pour les Républicains. Les centaines de millions de dollars dépensés par les Démocrates pour reprendre le Sénat n’ont rien donné, les Républicains cherchant à garder leur avance.
L’échec signifie qu’en 2022, la Chambre est plus susceptible de revenir au contrôle républicain, mettant en place une présidence boiteuse-canard. Les Démocrates ne seront pas en mesure d’emballer la Cour suprême, abolir le Collège électoral ou faire DC et Porto Rico des États.
Rien n’empêchera le président Biden-Harris , si élu, de répéter les erreurs géopolitiques de la présidence Obama, comme apaiser la Chine et les mollahs iraniens et signer l’accord de Paris sur le climat. Un Président Biden en déclin cognitif sera tôt ou tard remplacé par son impopulaire vice-président, Kamala Harris.
Aux prises avec une récession et des politiques qui ne feront qu'exacerber le déclin économique, les quatre prochaines années nuiront aux Démocrates. Leurs défauts, leur fausseté et leur hypocrisie seront pleinement exposés, avec de bonnes chances que la course présidentielle de 2024 soit remportée par l’un des héritiers républicains de la nouvelle génération Trumpiste.
Bonum Sensum