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C’est l’histoire d’un système qui va donner des idées à pas mal de monde, à commencer aux socialistes belges particulièrement friands de carambouilles.
N'en déplaise à tous ceux qui nient la fraude, le vote par correspondance historiquement et massivement exploité dans l'élection US 2020 a apporté de 10 à 15 points à Biden, mais uniquement et systématiquement dans les fameux swing-states. Aucun écart de la sorte n'a été constaté dans les États traditionnellement acquis à l'un ou l'autre des deux camps où les votes par correspondance existent aussi.
Ce qu'il y a de bien avec le vote par correspondance c'est qu'on peut aider les membres de sa famille, de son immeuble, de son club de sport, ses vieux parents grabataires, ses jeunes enfants insouciant de politique, sans parler des morts à point nommé ressuscités à voter et surtout à faire le bon choix.
Cela rappelle le bon vieux temps où, en France où était en son temps généralisé ce hold-up démocratique, certains militants écumaient les maisons de retraite et les couvents pour récupérer les procurations à leur nom.
Le vote par correspondance ne permet aucun contrôle a posteriori. N'importe quel collecteur de courrier peut ainsi faire disparaître du courrier postal d'un secteur que l'on sait très favorable à un candidat, sans que les électeurs-expéditeurs soient au courant.
Il faut être d’aussi mauvaise foi qu’un journaliste « progressiste » pour balayer les accusations de fraude d’un revers de la main méprisant quand on voit que des paquets de vote par correspondance décisifs ont été à 100% pour Biden, que les observateurs républicains ont bien souvent été empêchés d’observer le dépouillement et que la participation dépasse les 100% par endroits, suite à ces fameux votes par correspondance...
Il est extraordinaire de constater, à quel point, à l’image de sa consoeur belge, la presse française s’empresse de légitimer le vote par correspondance aux USA alors que dans l’Hexagone, ce procédé a été interdit en 1975 à la suite de fraudes massives lors des législatives de 1973.
Le vote par correspondance, qui a permis à Biden de l’emporter, est une plaie démocratique largement connue, dont on a encore vu les méfaits en Autriche, où la fraude aux bulletins par correspondance avait permis d’écarter le leader FPÖ Norber Höfer, pourtant en tête des élections.
Toute l’UE voulait empêcher qu’un leader populiste devienne le chancelier d’Autriche. Et dans la nuit suivant les élections, les 14 % de bulletins par correspondance avaient permis de voler la victoire à Norber Hofer, les médias ayant déjà à l’époque bien entendu resservi l’éternel refrain des citadins bobos votant systématiquement à 90 % contre le FPÖ !
Un grand classique donc… Renverser une élection avec 14 % de votes restants, c’est possible. Rien n’arrête les ennemis du peuple.
Si Donald Trump refuse de considérer avoir été battu, c'est peut-être tout simplement qu'il estime réellement qu'il y a eu triche.
Et même triche massive…