J’ai bien du mal en ces temps présents d’avoir une opinion sérieuse sur ce monde qui me semble s’écroulait rapidement. C’est le mien, ce monde qu’est mon pays, ma France à moi.
Qui ne songe pas avec regret, à cette France d’hier, celle du respect que l’on donnait à nos vieux, nos parents, nos « maîtres d’écoles » et autres « dispenseurs » de diverses instructions.
Jeunes, nous voulions tous changer le monde, dans la rue, lors de débats familiaux animés, et nous piquions des colères contre celui qui ne partageait pas les mêmes idées.
La vie nous paraissait éternelle, nous étions invincibles. L’avenir était à nous ! La question ne se posait même pas, on imaginait faire des études, trouver du travail, rencontrer une femme, fonder une famille. C’était tellement évident pour nous…
Aujourd’hui, des hommes disent qu’ils ne sont pas des hommes. Ils ne sont pas plus des femmes. Malgré les apparences, ils se disent binaires. Un homme ayant des couilles, un pénis estime que c’est une injustice de la nature. Il veut être une femme, une vraie femme. Si la science lui avait dit vraiment, que c’était impossible, qu’il n’y a aucun moyen de le transformer, de faire de ses organes génitaux, un vrai sexe de femme pouvant recevoir, jouir, être fécondée, et donner la vie, sans doute qu’un passage chez le psychologue, une aide sociale et familiale aurait suffi à le sortir de ce fantasme destructeur. Le vagin qu’ils obtiennent, après une lourde opération, est un ersatz de vagin que n’importe quel homme équilibré ne peut que fuir en courant. Cet individu n’est plus qu’une chose torturée qui ne pourra jamais plus jouir et même séduire. Il aura une apparence, et cela ne pourra pas lui suffire pour vivre toute sa vie dans une apparence, surtout quand l’âge venant, la fatigue des médicaments aboutiront finalement à la fin d’un rêve impossible et sans doute le suicide pour les plus fragiles.
Idem pour les femmes qui vont se faire greffer un faux pénis à partir de sa propre chair, qu’elle devra gonfler pour satisfaire sa compagne. Je songe à cette compagne qui n’aura même pas le plaisir de la satisfaire en utilisant ce merveilleux cadeau de la nature, qu’est le clitoris.
Quelle folie que de vouloir enseigner et affirmer à des enfants, en primaire, que leur sexualité n’est pas biologique, mais ressentie. Leur enseigner la masturbation, ce qu’est la sodomie. Qu’ils puissent se masturber, se découvrir, et pourquoi pas, s’essayer dans les toilettes pendant qu’ils y sont.
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Nous assistons, sur le plan sociétal, à des réunions interdites aux blancs sans que cela émeuve grand monde.
À Grenoble, une ville écologique (merci aux abstentionnistes) il y avait des préparatifs pour faire une manif contre les “violences policières”. Celle-ci vire au conflit ethnique ; des militants “racisés” interdisent les gauchistes blancs.
A la suite d’un débat très mouvementé entre racistes et bien pensants.
Les gauchistes blancs, les idiots utiles islamo-gauchistes se prennent une vraie claque. Ils pensaient qu’ils étaient intouchables, du bon côté de la barrière, et voilà que les noirs, les musulmans, les femmes voilées leur rappellent qu’ils ne sont que des blancs, des favorisés, des privilégiés, et qu’ils n’ont pas leurs places avec le vrai prolétariat islamisé, raciste, antiblanc.
Le Collectif des Femmes musulmanes de Grenoble, les Féministes Racisées Anti Patriarcat (FRAP) et le FUIQP Grenoble voulaient organiser une Assemblée Antiraciste réservée aux personnes racisées, non-blanches. Pour information, le mot racisé est une invention pour éviter le mot racisme, raciste, etc. Il ne s’adresse qu’aux noirs, aux métis, aux musulmans et aux voilées, et à toutes personnes qui n’est pas blanche. Pour ma part, les arabes sont blancs et je doute qu’ils se définissent comme noirs, métis et autres élucubrations.
Un blanc ne peut pas être racisé parce qu’il est raciste par définition. Même à sa naissance. Le racisme anti-blanc n’existe pas.
Tout de même, le Préfet de l’Isère à trouver que c’était un peu fort. Il a donc interdit cette manifestation anti-blanche. Ne doutons pas un instant que les islamo-gauchistes blancs de la CGT et autres, ont dû protester contre le Préfet. Quand on est con, on est con, disait Brassens. On notera que le Préfet n’utilise pas encore “l’écriture inclusive” !
Cette France, la France de mes 15 ans, a bien changé. Les Africains débarquent sur les plages européennes, insultent les Français qui ne veulent pas de cette invasion migratoire, et en interne, une cinquième colonne islamo-africain-gauchistes s’évertue à poser des mines juridiques, associatives et politiques.
Combien de temps à votre avis allons-nous tenir à ce régime.
Gérard Brazon
article paru sur Riposte Laïque