En ces temps où les états dit « démocratiques » clament leur amour pour la liberté, leurs tribunaux politiques, judiciaires, médiatiques et populaires organisent une chasse impitoyable aux hérétiques qui nient ou résistent au dogme du « Vivrensemble » universel et aux vérités révélées de la pensée unique mondialisée.
Si la condamnation au bûcher est devenue virtuelle, elle n’en est pas moins efficace. Les nouveaux inquisiteurs brûlent les livres, censurent les idées, font taire les iconoclastes crient au complotisme, tout comme leurs prédécesseurs hurlaient à la sorcellerie au Moyen-Age !
Quant à la liberté qu’ils nous donnent, elle est toute relative. Elle existe pour autant qu’elle s’exprime selon leur volonté et leur bon plaisir, sous peine de condamnation sévère en cas de négation de ce qu’ils ont institué comme les valeurs intangibles et irréfragables. La liberté leur appartient et non au Peuple, et ils répètent sans arrêt l’excommunication de Saint-Just « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté, la leur, bien sûr.
La messe mondialiste est dite !
Georges Bleuhay