Ne faisons pas de mauvais procès au président (Macron – ndlr) en se lançant dans des comparaisons hasardeuses avec la Seconde Guerre mondiale et les camps. Rendons-lui cette justice-là au moins, car il ne sait pas en réalité, lui, pas plus que les autres qui il condamne. Les jeunes de plus de 12 ans qui ne meurent pas de la Covid mais qui vont mourir du vaccin comme le montre l’exemple de la Malaisie, ou les non-vaccinés qu’il ne veut pas déporter, mais juste leur « pourrir la vie ». Ou alors peut-être sauvera-t-il la vie au plus grand nombre avec son "tout vaccinal"… Qui sait.
Adolf Hitler ne pourrissait pas la vie des Juifs. Il les tuait. Cela dit cela avait commencé par quelques mesures de « différenciation ».
Reprenons et réfléchissons. En fait…
Ce n’est pas une question médicale.
Ce n’est pas une question vaccinale.
C’est une question philosophique.
C’est une question de liberté et de respect de chacun.
Je suis effrayé des raisonnements que l’on nous sert.
Il faut « pourrir la vie », « rendre la vie impossible » à nos concitoyens non-vaccinés.
Il faut faire « payer les non-vaccinés » car ils pourraient se faire piquer, alors ne pas payer leurs soins serait normal.
Je ne sais pas si vous vous rendez compte que l’on pourrait appliquer ces raisonnements à tous les autres, à toutes les communautés, aux religions ou aux modes de vie.
Vous êtes gros ? Payez le coût de votre obésité, vous mangez trop ? Interdisons aux gros l’accès aux centres commerciaux et aux fast-foods.
Vous êtes alcoolique ? Payez les frais de votre alcoolisme.
Vous pouvez remplacer « non-vaccinés » par tous les autres mots, car si nous acceptons cette dérive totalitaire, alors la liberté ne reviendra plus jamais dans ce pays où toutes les lois « temporaires » sont toujours et le plus hypocritement du monde, traduite dans la législation de manière définitive.
Vous aurez le contrôle social total.
Ce pays fait comme la Chine.
Il procède comme la Chine.
Notre pays n’est plus une démocratie, car un jour, pas si lointain, vous aurez ce genre de restrictions au nom de tout comme de la sécurité.
Interdit aux ex-prisonniers.
Interdit aux porteurs du virus du sida.
Je n’attendrai pas le 21 juillet date annoncée par le Président. La grève totale et illimitée de la consommation.
Il a vanté la reprise, elle va s’effondrer et s’écrouler sous ses yeux.
Vaccinez, vaccinez… et bien, épargnez, épargnez encore. Mettez des sous de côté. Vous pouvez vous faire vacciner d’ailleurs, encore une fois personne ne sait aujourd’hui qui aura raison ou tort. Les vaccinés ou les non-vaccinés, nous sommes tenus dans la nuit et brouillard… Je ne dirais donc jamais aux gens de ne pas se faire vacciner, car je ne sais pas s’ils ne pourraient pas dès demain mourir de ce virus. C’est une évidence. Encore une fois, le sujet n’est pas la vaccination. C’est la liberté.
A compter de ce jour, et parce que je suis un garçon très pacifique, j’appliquerai en toutes circonstances la grève de la consommation.
Je ne visiterai aucun centre commercial. Aucun restaurant. Aucun musée, aucun parc d’attraction.
Que je sois vacciné ou pas, car ce n’est pas une question de vaccination.
En aucun cas.
Je connais mon histoire. Je connais l’histoire.
Tous les fascismes commencent par la déshumanisation d’une catégorie
Tous les fascismes commencent par déshumaniser une catégorie de la population, qu’ils soient juifs, qu’ils soient anti-communistes, qu’ils soient contre la junte, qu’ils soient homosexuels, peu importe.
Lorsqu’un Etat déshumanise une catégorie de sa population, ce n’est jamais juste.
Lorsqu’un Etat diabolise le cœur sur la main une partie de ses citoyens, alors, vous êtes confrontés à une dérive majeure.
Je peux me faire vacciner demain ou peut-être même que je le suis déjà, cela n’est pas le sujet. Je n’ai de leçon à donner à personne dans un sens comme dans l’autre.
C’est la déshumanisation qui est le prélude à toutes les violences, qui les rendent possibles. Parce que finalement l’autre le mérite bien, il l’a bien cherché.
Ce qui est certain en revanche, c’est que tous ceux qui se demandaient dans quel camp ils auraient été pendant la dernière mondiale, la réponse vient d’être apportée de manière très limpide.
Si vous trouvez légitime de diaboliser une partie de vos concitoyens, alors vous auriez trouvé plein d’autres choses, en d’autres temps et sous d’autres cieux, parfaitement normales. Du Cambodge de Pol-Pot à l’URSS de Staline, ou à l’Argentine de la Junte militaire, le monde ne manque jamais de délateurs et de collaborateurs.
N’oubliez jamais.
Ce n’est pas une question de vaccination.
C’est une question de liberté et de démocratie.
C’est aussi une question de constitutionnalité.
Si vous voulez sacrifier la liberté et la Constitution sur l’autel d’une fausse sécurité sanitaire, alors, vous n’aurez ni la sécurité sanitaire, et vous perdrez pour toujours la liberté.
Car oui, mes amis.
Oui. La liberté a un prix, qui est celui que parfois certains en abusent à votre détriment, raison pour laquelle nous avons lois, justice et police.
Mais, on n’est pas un peu libre, comme on n’est pas un peu enceinte, ou un peu égaux.
On l’est tous ou pas du tout.
Cette histoire c’est de la folie pure.
La covid tue. Certes.
Mais ce que Macron a annoncé hier soir, c’est la fin de l’égalité de tous devant la loi, c’est la stigmatisation de la moitié de la population, c’est la coercition vaccinale, c’est, le même comportement que celui du président chinois.
C’est aussi, encore plus grave, l’abolition de tous nos principes constitutionnels, y compris sur la notion d’état d’urgence, de lois d’exception.
Ce pays vient de rentrer dans la nuit, un 12 juillet de l’an 2021.
Retenez cette date.
Elle rentrera dans l’histoire.
La grande histoire.
C’est en réalité maintenant que tout commence.
Si nous voulons éviter la dictature numérique et sanitaire, que nous soyons vaccinés ou non, nous ne pouvons et ne devons pas accepter la destruction de notre Constitution.
Le 12 juillet, la Constitution a été totalement bafouée dans son esprit.
Il ne s’en rend pas compte, mais les répercussions économiques, sociales, et sociétales seront énormes. Considérables. Et aussi très inquiétantes.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles Sanat
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