Après avoir pendant 5 ans déversé de façon discontinue des tombereaux d'insultes, d'approximations et de fake news sur Trump, l'AFP, la voix de son maître gorgée de subsides étatiques, a déjà depuis janvier dernier sorti la brosse à reluire Biden.
Ce premier résumé illustre à merveille le travail de désinformation de cette agence de presse qui inonde de ses mensonges par omission la presse européenne. Car ce que l'AFP ne vous dit pas ici, c'est, entre autres, que...
1. La cote de popularité du 46e président flirte désormais avec les 50 % d'opinion favorable.
2. En 50 jours, enfermé dans son cocon par son propre entourage effrayé à l'idée de le voir gaffer, Biden n'a pas tenu une seule conférence de presse à la Maison Blanche.
3. Les trous de mémoire de Robinette inquiètent tout l'establishment: à plusieurs reprises déjà, Biden a écorché les noms des responsables qu'il vient de nommer quand il ne les oublie pas carrément, suscitant les plus vives inquiétudes quand on sait que le bonhomme a à portée de main le bouton nucléaire.
4. Son fameux plan de relance à 1,9 billion de dollars excluant quantité de ménages émargeant à la classe moyenne suscite les plus vives inquiétudes dans le cercle US et international des économistes les plus qualifiés: le déficit public et l'endettement fédéral risquent de devenir insoutenables tandis que l'inflation pointe déjà le bout du nez en menaçant très vite la reprise.
5. Sa communication sur les réseaux sociaux est invisible et nulle alors qu'une majorité d'Américains ne s'informe plus que sur ces canaux.
6. Son administration, à 80 % composée d'anciens fidèles d'Obama, a déjà connu de très nombreux ratés avec, notamment, la démission forcée de son porte-parole en second coupable d'avoir menacé un représentant de la presse.
7. Sa majorité au Sénat ne tient qu'à un fil, l'un des élus démocrates, excédé par les revendications de l'extrême gauche, menaçant en permanence d'apporter sa voix aux républicains.
8. Jamais, alors qu'il avait promis de composer avec l'opposition, Biden, faisant passer en force, le plus souvent par décret, ses nouvelles lois, pour l'essentiel édictées pour faire l'exact contraire de Trump, n'est parvenu à rallier l'approbation d'un seul républicain, ni à la Chambre ni au Sénat.
9. Son projet d'accorder le vote aux criminels condamnés et aux illégaux est aussi contesté que sa volonté de généraliser partout le vote par correspondance, source de toutes les tricheries qui lui ont permis de remporter un nombre de suffrages jamais atteint dans l'histoire des Etats-Unis.
10. Son ouverture suicidaire des frontières conjuguée à l'arrêt du mur trumpien conduisent déjà au chaos au sud du pays. L'immigration sauvage a drainé en février plus de 100.000 illégaux au nombre desquels de redoutables criminels et plus grave encore une cohorte d'individus non identifiés atteints de la Covid. La police ne parvient plus à endiguer le flot des migrants, à commencer par une multitude de mineurs qui s'entassent dans des camps de fortune, suscitant les pires controverses à gauche comme à droite et déclenchant dans les états concernés les premiers procès contre la présidence.
11. Jamais les conservateurs n'ont été autant vent debout contre les démocrates soupçonnés de vouloir désarmer la population, de dénaturer le sport féminin en y intégrant tous les transgenres, d'ostraciser et d'appauvrir les Blancs; et in fine de conduire les USA vers un communisme rampant qu'en son temps Kennedy et d'autres démocrates avaient combattu de toutes leurs forces.
Voilà tout ce dont l'AFP évite de parler. Son conte de fées ne fait pourtant que commencer.
L'objecteur médiatique