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C’est l’histoire d’un jeune enseignant exerçant son sacerdoce dans une commune où s’est déjà installée ci et là, au-dessus de nos us constitutionnels, la loi du Coran.
A Molenbeek, il ne fait pas bon se moquer du Prophète. C’est ce qu’a appris à ses dépens Xavier, renvoyé de son école pour avoir eu l’outrecuidance, l’imprudence ou le courage d’enseigner les piliers de la libre expression en montrant à ses ouailles des caricatures de Mahomet. L’une d’entre elles, selon le rapport de la charia, a justifié la mise à pied du mécréant parce qu’un des dessins montrait... les organes génitaux du saint homme, ravalé, plus bas que bas, au rang de Manneken-Pis.
Survenant quelques jours après la décapitation du professeur de Conflans-Sainte-Honorine, cette mise à pied aurait dû légitimement provoquer une vague d’indignation et de protestations partout en Belgique, à commencer dans tous les milieux laïcards si prompts à se saisir de la moindre occasion pour pourfendre toute référence au catholicisme, dans toutes les sphères politiques pourtant si soucieuses de la neutralité dans l’enseignement, dans le marigot médiatique jadis si farouchement attaché à la cause des collègues de Charlie Hebdo et dans les cercles fermés des bobos si enclins à se moquer de tout et de rien.
Aucune de ces âmes bien-pensantes n’est toutefois sortie du bois pour prendre la défense de ce malheureux magister livré pieds et poings liés au jugement arbitraire et expéditif de ce collège échevinal et de ce pouvoir organisateur n’ayant d’autre couleur ni idéologie que celui de l’islamo-gauchisme, maître chez lui à l’image de son infâme maïoresse, digne héritière de son père, feu le grand Vizir qui doit dans son sultanat céleste éprouver une infinie fierté en voyant Catherine Moureaux creuser un peu plus dans son fief sacré le sillon du communautarisme.
Survenant quelques jours après la décapitation du professeur de Conflans-Sainte-Honorine, cette mise à pied aurait dû légitimement provoquer une vague d’indignation et de protestations partout en Belgique, à commencer dans tous les milieux laïcards si prompts à se saisir de la moindre occasion pour pourfendre toute référence au catholicisme, dans toutes les sphères politiques pourtant si soucieuses de la neutralité dans l’enseignement, dans le marigot médiatique jadis si farouchement attaché à la cause des collègues de Charlie Hebdo et dans les cercles fermés des bobos si enclins à se moquer de tout et de rien.
Aucune de ces âmes bien-pensantes n’est toutefois sortie du bois pour prendre la défense de ce malheureux magister livré pieds et poings liés au jugement arbitraire et expéditif de ce collège échevinal et de ce pouvoir organisateur n’ayant d’autre couleur ni idéologie que celui de l’islamo-gauchisme, maître chez lui à l’image de son infâme maïoresse, digne héritière de son père, feu le grand Vizir qui doit dans son sultanat céleste éprouver une infinie fierté en voyant Catherine Moureaux creuser un peu plus dans son fief sacré le sillon du communautarisme.
Aux antipodes de l’Edit de Nantes, l’Edit de Molenbeek fera date dans les annales belges qui enregistrent en lettres de sang la première condamnation publique et la décapitation honorifique d’un enseignant par les disciples d’Allah.
Un Edit promulgué au coeur de la Belgique, dans l’indifférence générale, entre démission et soumission, lâcheté et trahison collectives.
L'objecteur médiatique
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