"Un professeur d’histoire-géographie, qui avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, a été décapité près d’un collège vendredi à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) dans "un attentat terroriste islamiste caractérisé", pour Emmanuel Macron le président de France. (source: Dernières Nouvelles d'Alsace.)
Samuel Patyn, professeur d’histoire a été décapité en rue par un jeune musulman tchétchène de 18 ans, Abdoullakh Abouyezidovitch A, réfugié politique en possession d’un titre de séjour délivré le 4 mars dernier et valable jusqu'en mars 2030.
Encore une fois, cet attentat islamique pose de nombreuses questions.
Comment ce jeune délinquant était-il en possession d’une arme de poing ?
Scolarisé à Evreux, pourquoi s’est-il attaqué à un enseignant du collège du Bois-d'Aulne à Conflans-Sainte-Honoré distant de près de 90 kms?
Initiative personnelle ou téléguidée ?
C’est bien beau d’avoir un président qui déclare virilement et théâtralement « Ils ne passeront pas ». Mais ils sont déjà passés, avec l'aide et le soutien de tous les spécialistes politiques et médiatiques du « Vivrensemble » alors que cette religion mortifère ne peut pas se soumettre à nos valeurs.
La France est, selon une étude internationale publiée en juin 2017, le pays le plus touché par les attentats islamistes commis en Europe et en Amérique du Nord. Depuis , la France est confrontée à une vague d'attentats islamistes sans précédent causant 266 morts dont le dernier en date est l'assassinat au couteau contre un professeur à Conflans-Sainte-Honorine le 16 octobre 2020 (source : Wikipedia) et encore … les égorgements faits par des « déséquilibrés » ne sont pas comptabilisés.
Comme à chaque fois les « ils n’auront pas ma haine » et les « pas d’amalgame » vont pleuvoir sur le peuple de France par le biais de discours politiques, les médias et souvent même, par les proches des victimes.
Mais qui osera affirmer parmi ces « bénis-oui-oui »que ce drame est dû au laxisme de l'État et des partis politiques complices par rapport à une immigration toujours acceptée, mais jamais choisie.
La seule et vraie interrogation est
doit-on sacrifier nos citoyens et leur vie au nom d’un humanisme et d’une compassion sans limites ?
René F. Thirion