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La juge Bénédicte de Perthuis et ses deux acolytes – sans doute trop timides pour que l’on connaisse leur identité – a sans doute beaucoup d’humour, puisqu’elle a commencé son interminable énoncé en disant que le procès n’avait rien de politique, et que les accusés ne seraient jugés que sur des faits. Et comme au RN, on est bien élevé, personne n’a éclaté de rire, et personne n’a cru à un mauvais poisson d’avril de la présidente.
Deux heures plus tard, Marine quittait la salle, comprenant que les jeux étaient faits, et que le pire allait suivre, surtout pour elle, mais aussi pour les autres accusés. Les réquisitions des deux procureurs de la République (là aussi défense d’éclater de rire en les appelant ainsi) Louise Neyton et Nicolas Barret ont été presque suivis à la lettre. C’est à une véritable boucherie judiciaire à laquelle, incrédules, les Français ont été confrontés, puisqu’il paraît que Bénédicte de Perthuis – qu’un de nos contributeurs a comparé à l’évêque Cauchon – a rendu ce verdict en leur nom.
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C’est donc une femme et ses deux complices inconnus qui ont décidé de l’avenir de l’élection reine, en France, la présidentielle de 2027. La présidente, aujourd’hui âgée de 63 ans, n’a été touchée par la vocation de devenir juge qu’à l’âge de 37 ans, alors qu’elle était consultante chez Ernst & Young. Il paraît que cela serait Eva Joly qui lui aurait donné envie de devenir magistrate, ce qui explique sans doute l’ampleur du désastre…
Donc, au nom du peuple (là encore, défense d’éclater de rire, il paraît qu’on doit respecter la justice et ne pas commenter ses décisions), la femme qui était favorite pour remporter l’élection présidentielle de 2027 – si Macron tient jusque là – se voit condamnée à 4 ans de prison, dont 2 fermes, confinée chez elle avec un bracelet électronique – 5 ans d’inéligibilité, 100.000 euros d’amende, et pas le droit de procéder à un appel suspensif ! Du côté de ses compagnons d’infortune, même si c’est moins spectaculaire, c’est quand même impressionnant, avec des amendes exorbitantes, des peines de prison ferme, mais sans incarcération, pour des Louis Aliot, Bruno Gollnisch, Nicolas Bay, Julien Odoul et d’autres.
Une méthode différente de celle appliquée en Roumanie, mais pour le même résultat. Bien sûr, c’est un séisme en France, mais le monde entier réagit, et chacun voit, malgré la propagande médiatique, que la France de Macron bascule de plus en plus dans une dictature qui ne cache plus son nom, avec son bras armé, la justice et ses juges partisans, au service du régime.
Extrait d'un article de Cyrano
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