" Pourquoi les Français traduisent-ils? c'est la perte de l'esprit national, que d'y faire passer celui des autres nations. " Charles Joseph, prince de Ligne
Hélas, aujourd'hui, les français ne traduisent même plus, ils copient servilement la dégénérescence afro-américaine, ils singent leurs pires déviances, ils assassinent dans un joyeux autodafé tout ce qui a fait leur gloire et leur histoire, la splendeur de leur langue et la richesse de leur culture.
Le constat est incontestable pour les quelques et rares héritiers de Descartes, Pascal mais aussi de Pierre de Ronsard et d'Alfred de Musset.
La France royale de Jeanne d'Arc, impériale de Napoléon et républicaine de Charles De Gaulle disparaît de plus en plus rapidement sous les terribles coups de boutoir d'une submersion par des peuples non européens et par un consumérisme délirant, créant un métissage inévitable et mortel pour les racines de l'individu arraché à son terroir nourricier et destructeur de son identité profonde.
Macron, fils spirituel des Rothschild, mondialiste acharné et adorateur du Veau d'Or, a confirmé par le biais de cette manifestation, ses symboles sous-jacents et le "talent" de ses "élites" wokistes, sa volonté d'abrutir mieux encore le peuple et donner au monde la vision d'une France inclusive ouverte à toutes les perversions intellectuelles et sexuelles, dont la seule morale est de ne plus en avoir.
Plus, l'homme se rapprochera de l'animal qui est en lui, avec le réveil de ses instincts élémentaires et la perte de son intelligence, plus le chaos s'installera permettant l'instauration du Nouvel Ordre mondial, tellement désiré par quelques maîtres inconnus de tous, devenus les nouveaux dieux adorés par des néo--primates dédiés à leur service et soumis à leur bon plaisir !
" Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Deux formes ont tout à l’heure passé.
Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l’on entend à peine leurs paroles.
Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Deux spectres ont évoqué le passé.
– Te souvient-il de notre extase ancienne ?
– Pourquoi voulez-vous donc qu’il m’en souvienne ?
– Ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ?
Toujours vois-tu mon âme en rêve ? – Non.
– Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! – C’est possible.
– Qu’il était bleu, le ciel, et grand, l’espoir !
– L’espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.
Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles. "
Paul Verlaine
Le poète ne peut que désespérer et pleurer !
Méry-sur-Ourthe, le 28 juillet 2024