Avons-nous oublié nos racines ?

Aujourd’hui, nous devrions fêter le Solstice d’hiver comme nos lointains, très lointains ancêtres, bien plus proches de la réalité que nos frères contemporains à l’heure de la réalité « augmentée », annoncée publicitairement par la naissance christique des métavers et de nos avatars, celle d’un monde virtuel remplaçant celui bien réel dont nous sommes et resterons totalement dépendants.

Cette nuit sera le moment magique où la nature passera d’un grand sommeil qui ressemble à la mort au début de son réveil pour une nouvelle vie, une renaissance de sa vitalité dont nous dépendons totalement.

Qu’elle soit l’occasion de nous interroger sur ce miracle qui ne peut se réaliser que par la présence du Soleil, notre bonne étoile qui gère la vie sur notre planète et qui pourrait, en cas d’éruption plus importante que celles qui lui sont habituelles, avoir de graves répercussions sur les réseaux électriques, tellement indispensables à nos sociétés modernes, au point de les renvoyer à l’âge de pierre. Terminé, le rêve numérique des Nouveaux Mondes du métavers et de l’intelligence artificielle !

Que ce vingt-et-un décembre soit l’occasion de nous rendre compte de notre fragilité humaine et de la vanité imbécile des humains, croyant pouvoir vaincre les lois inéluctables de l’Univers.

Joyeux Solstice pour tous, symbole d’espoir en un renouveau régénérateur !