Dieu que le temps parait court
Quand la peine est profonde
C'est la perte d'un amour
Qui rétrécit le monde
Chaque jour le souvenir
Rappelle son absence
Et on ne peut pas guérir
De l’horrible souffrance
Il a tellement compté
Cet être que l’on aimait
Qu’on se sait pas l’oublier
Le cœur à jamais meurtri
Par ce douloureux regret
Qui vous laisse anéanti
Méry-sur-Ourthe, le 24 juillet 2022
Georges Bleuhay - en attente de publication
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