De nombreux procès de la mafia avortent, faute de preuves et surtout de témoins. On a fait taire définitivement ceux qui auraient pu parler. Ou ils ont préféré détaler le plus loin possible et se faire oublier.
Les avocats des criminels peuvent alors pérorer que les accusations reposent sur des rumeurs, et qu’on ne condamne pas sur des suppositions et des ragots.
Le sentiment de nocivité des pseudo-vaccins, c’est comme l’impression d’insécurité. Un fantasme de complotistes et rien d’autre !
Big Pharma a copié les méthodes du crime organisé : menaces, rétorsions, corruption, extorsions, exécutions. Les condamnations sont rares. La désinformation permanente.
« La mort en douceur » selon Pétain et Laval, dont Macronescu s’inspire
Moins cruels que les nazis qui n’y allaient pas par quatre chemins, ils avaient trouvé un moyen discret, n’engageant pas leur responsabilité directe, pour se débarrasser des bouches inutiles, des patraques, des gêneurs et des dissidents.
« Laissez-les mourir ! » fut dès 1941 un mot d’ordre suivi sans états d’âme par la plupart des Français collabos de l’époque. Comme ceux qui, aujourd’hui, servent docilement les Macronescu, leur Varan et le gang des faux vaccins.
On vit alors dépérir des malades, auxquels on refusait les soins et l’accès à l’hôpital, faute de passeport intérieur,
On vit des médecins dénoncer leurs confrères qui soignaient malgré tout,
On vit des esprits critiques considérés comme fous, enfermés au secret,
On vit des enfants et des vieillards à l’isolement, privés de boire et de manger,
On vit ceux qui avaient douté des bienfaits de la collaboration ou refusé de servir la milice, dépérir cachectiques car interdits de travailler, privés de bons d’alimentation.
Et ignominie qui résume toutes les autres : quand on ne tuait pas par ricochet les imprécateurs, on attendait qu’ils soient assez désespérés pour se suicider.
Enfermés chez eux, privés de réunions de famille, en butte à l’hostilité des voisins, harcelés dans la rue et tarabustés par les miliciens, interdits de cinéma, de bistro, de resto, de voyages, de repas entre amis, et pour beaucoup de travail et de revenus… « C’est plus une vie, autant en finir tout de suite ! »
« Harvard Medical School » et pathologies du harcèlement
Conséquences de stress répétés, elles provoquent des maladies de la peau, des troubles gastro-intestinaux, des rectocolites hémorragiques, des ulcères gastriques, des pertes du sommeil, de l’asthme et des troubles sexuels. Avec la prise d’antidépresseurs et d’anxiolytiques qui conduisent généralement à un état de dépendance pour ce qu’il leur reste à vivre.
La Harvard Medical school a ajouté à la mort sociale le facteur aggravant de la solitude. Le risque devient 29 % plus élevé d’avoir une maladie coronarienne et 32 % plus élevé d’avoir un AVC pour un sujet isolé. En outre les capacités cognitives diminuent en quelques mois de 20 % chez les personnes coupées de contacts avec l’extérieur avec, chez 59 % d’entre elles, l’incapacité d’effectuer des tâches de la vie quotidienne, et chez 45 % la probabilité de mourir rapidement.
Contrairement à ce que raconte la propagande gouvernementale, ce n’est pas le covidus macronibus qui altère les capacités cognitives, c’est l’inquiétude permanente entretenue par les médias et les harcèlements à répétition de la milice.
Les non-vaccinés sont la preuve indirecte du crime de masse
Selon la doxa des vaxino-maniaques, des gens en bonne santé pourraient contaminer d’un virus dont ils ne sont pas porteurs des triple vaccinés, donc triplement protégés.
Cette fiction ne tient pas la route tant que nous constituons un groupe témoin que Big Pharma doit éliminer « quoi qu’il en coûte » comme dirait Manuella.
En effet, dans « le monde d’avant », on commençait par définir un protocole d’essais pour toute nouvelle thérapie. Les labos recrutaient alors un groupe témoin non assujetti à l’expérimentation, destiné à servir de point de comparaison avec des cobayes humains. Des volontaires informés des risques et rémunérés. Si des distorsions apparaissaient entre les cobayes et le groupe témoin, on en déduisait qu’il s’agissait d’effets directs ou secondaires, selon leur gravité, liés au produit, puisque le groupe témoin était épargné.
Ce protocole était assez facile à truquer, en soudoyant des médicastres et des scientifiques véreux, comme le rapporte dans une confession déchirante, peu de temps avant sa mort suspecte, John Virapen ex-PDG d’un grand groupe pharmaceutique. Mais au moins, on respectait les apparences et des délais raisonnables.
Aujourd’hui, les non-vaccinés représentent de facto le groupe témoin. Une majorité de la population, moins importante que le claironne le pouvoir, a subi les piqûres présentées comme « la seule façon d’enrayer la pandémie et de retrouver une vie normale.
L’ennui est que ces cobayes mis gratuitement à la disposition de Big Pharma par des politiciens crapuleux payent de leur personne à l’insu de leur plein gré.
Ils ne sont pas à l’abri du virus, ils l’attrapent et en crèvent davantage et plus vite, parce que le prétendu vaccin est un vecteur de contamination majeur.
Et ils le transmettent plus facilement que les non-vaccinés parce que les mixtures des labos favorisent les formes les plus pernicieuses d’un coronavirus relativement bénin dans la nature.
Parce que les anticorps bloquants, naturellement produits par l’organisme, ont été détruits en étant remplacés par des anticorps facilitants (aidant à la contagion !) produits par la protéine Spike des mixtures à ARNm.
Une situation intolérable que les médias aux ordres et leurs commissaires politiques dits « fact checkers » ne pouvaient cacher indéfiniment. Une réaction d’urgence de la mafia Big Pharma s’imposait donc !
Les non-vaccinés seraient responsables de l’épidémie et de l’échec des « vaccins »
Les producteurs de vaccins inefficaces et mortifères doivent en finir rapidement avec le groupe témoin gênant des non-vaccinés, qui sont autant d’actes d’accusation vivants, dénonçant chaque jour par leur seule présence en bonne santé, l’arnaque mondiale coordonnée par des loufiats crapuleux tels que Macronescu, Trudeau, Draghi, Morrisson, Jacinda Ardern et leurs séides. Liste non exhaustive.
Plus le temps passe, plus ils sont acculés et savent que leur seule chance d’échapper au gibet ou au peloton d’exécution après de légitimes révoltes populaires est de se défausser de leurs crimes sur des boucs émissaires.
L’encouragement d’une haine primaire contre les non-vaccinés, rendus coupables de tous les maux et entretenue par les médias du NWO, a l’air de fonctionner. Mais elle ne va pas tarder à se retrouver dans une impasse. Car même si on arrive à faire croire aux simples d’esprit qu’une personne saine peut contaminer une autre personne en lui refilant un virus contre lequel elle est précisément « vaccinée » donc protégée… Et même avec toute la démagogie du monde, en flattant les plus bas instincts, ces discours mensongers se heurteront à une réalité : les « vaccinés » attrapent la grippe pangoline plus souvent que les autres et en subissent les formes les plus sévères !
Leur pire crainte : la révolte des « vaccinés »
Un bon nombre de « vaccinés », pour pouvoir continuer à travailler ou faire soigner des maladies chroniques, ou visiter leurs vieux parents, ont subi les piquouses, contraints et forcés, sous la menace et le chantage, en violation d’une kyrielle de lois françaises et internationales auxquelles la France avait souscrit.
À commencer par le code de Nuremberg en vertu duquel on a pendu des médecins nazis qui effectuaient des expérimentations sur des humains non consentants. Mais aussi des théoriciens et journalistes nationo-socialistes qui encourageaient ce genre d’abomination. Sans parler des politiciens donneurs d’ordres qui ont étrenné les élégantes cravates de chanvre.
Les vaccinés sous la contrainte en veulent à leurs bourreaux, parce qu’ils n’ont retrouvé en aucune façon leur vie d’avant, comme on le leur avait fait miroiter. Surtout quand ils ont souffert des effets secondaires des mixtures de Big Pharma. Ils refusent les troisièmes, quatrièmes et ixièmes injections, et de ce fait beaucoup sont déjà passés de notre bord, futurs témoins à charge au procès Nuremberg
Certains moutons commencent à devenir enragés. Braves gens, de bonne foi, handicapés par un bagage scientifique trop succinct pour se faire une opinion au début du génocide, ils n’imaginaient pas que des médecins et des pharmaciens puissent devenir des assassins au service d’un psychopathe manipulateur pervers.
Mais la répétition des rappels qui prouvent l’inefficacité des mixtures, de même que le nombre de « piqués » malgré tout covidés jusqu’au trognon, dont certains souffrent de graves séquelles, cela a fini par se savoir.
Même les chanceux qui n’ont souffert que de fièvres, vertiges, céphalées, allergies quand ça s’est bien passé pour eux, ils connaissent presque tous dans leur entourage familial ou professionnel, des personnes victimes de paralysies, embolies pulmonaires, phlébites, AVC, myocardites.
Ils ont pu noter qu’eux-mêmes éprouvaient d’étranges malaises, sautes d’humeur et pertes de mémoire parce que leurs neurotransmetteurs étaient atteints. Encore heureux s’ils avaient échappé aux prions transformant en éponge leur système nerveux central. Avec in fine des moutons devenant des vaches folles.
La dernière combine du gouvernement est maintenant de créer artificiellement une lutte des âges en montant les jeunes contre les vieux. Selon cette théorie aberrante, les boomers égoïstes voudraient piquer tous les jeunes pour se protéger.
Or, la majorité des VRP de Big Pharma et leurs complices macronards sont des individus qui ont entre 30 et 45 ans, tandis que les « boomers » de 60 ans et plus s’appellent Raoult, Perronne, Fourtillan, Montagnier.
Le vrai massacre commencera en mai si Macronescu s’incruste
Des ballons d’essai ont été lancés par les séides du conducator. Pour l’inénarrable simplet de Matignon, ce serait une bonne chose de boucler les non-vaccinés chez eux, avec un bracelet électronique pour entraver leurs déplacements. La privation de citoyenneté avec retrait du droit de vote serait le complément logique.
Pour le Varan incommodant, retirer les enfants aux parents « irresponsables puisque non vaccinés » pour les dresser dans des lebensborn où on maintiendrait la pureté sanitaire des races, de préférence extra-européennes, éviterait la diffusion de mauvaises pensées familiales pouvant mener à la rébellion.
Pour l’ignoble Castagnette, profession chef éborgneur, enfermer les indociles dans des centres de rétention, pour ne pas dire des bagnes sanitaires, serait une solution pour les écarter de la société. Momentanément jusqu’à ce qu’ils manifestent leur repentir en acceptant 5 doses d’un coup et en crèvent rapidement.
Pour l’incroyable Estropié du cerveau de Nice, priver les refuzniks de tous revenus et droits sociaux, en clair en faire des SDF, leur ferait les pieds. Moins grands que ceux de Jean-Brizitte, mais tout de même, ça pourrait marcher…
Et pour le dangereux psychopathe à tendance serial killer, l’idée de camps d’extermination pour envoyer moisir et périr ceux que ni le virus ni ses pseudo-vaccins n’auront réussi à abattre semble une option envisageable. Bénéfique à tous points de vue : régulation des populations, résorption des opposants, dressage renforcé des mougeons et des moutruches.
Avec toutefois une exception notable : pas touche aux espèces protégées qui assurent le Grand Remplacement.
Christian Navi
https://climatorealist.blogspot.com/