Je ne suis pas un professionnel de la fabrication de vaccins, pas plus que Noé était un professionnel de l’architecture navale.
Le Titanic a été construit par de brillants professionnels. L’Arche de Noé, celle de l’amateur, a flotté alors que le fier Titanic sombrait.
Être un professionnel n’est pas un gage, ni une qualité. C’est tout au plus une qualification qui ne donne aucun droit supplémentaire à éviter toute critique ou remise en question.
Méfiez-vous des doctes professionnels. En toutes choses.
Complotiste ? Non questionniste !!
Alors quand certaines voix se sont élevées pour dire attention, ne faites pas n’importe quoi, prenez votre temps, attendons des alternatives, ne nous précipitons pas vers ces vaccins développés en urgence il a fallu les faire taire.
Complotiste.
Dangereux même
AntiVax.
Fascistes.
Point. Fin de la contestation et de l’histoire.
Tout le monde à la piqure.
Des voix dont j’étais disaient attention, faire n’importe quoi, aller trop vite, si jamais cela rate, cela sera encore pire pour la vaccination dans laquelle plus personne n’aura jamais confiance.
Mais non.
Fasciste.
Antivax.
Dangereux.
Il fallait nous interdire.
Il fallait nous censurer.
Il fallait nous ridiculiser.
Se poser des questions, douter c’est la base de tout raisonnement, c’est la base de toute raison ! C’est d’ailleurs ainsi que l’on formait dans notre pays il y a encore quelques décennies nos jeunes. J’ai eu d’excellents professeurs de philosophie, comme de lettres.
Si vous souhaitez savoir où se trouve le danger, regardez qui essaie de faire taire ceux qui veulent douter, donc réfléchir, ceux qui veulent penser et donc être.
Je suis pour les vaccins… qui marchent !
Je n’ai rien contre les vaccins.
Je réfléchis, je regarde, j’analyse, je raisonne, je questionne.
Nous n’avons rien dans ce dossier de rassurant.
Des études bâclées sur des échantillons qui n’ont pas été vérifiés, des données transmises uniquement par des laboratoires qui ont développé dans l’urgence des mixtures dont on connait encore bien peu de chose aussi bien sur les effets court terme qu’à long terme !
Il est donc évident d’un point de vue analytique et stratégique qu’il est stupide de baser toute notre stratégie de lutte contre la pandémie sur cette histoire vaseuse de vaccin.
Une erreur de stratégie. Il faut d’abord soigner, piquer après !
Reprenons.
Des vaccins développés à la va-vite.
Une nouvelle technologie ARN dont on sait si peu de chose.
Une possibilité importante de créer de nouveaux variants peut-être même plus dangereux que le virus initial.
Une absence d’alternative et de soins. Toutes les thérapies proposées de façon alternatives par les médecins au contact des malades finissent par être interdites.
Nous avions la chloroquine et l’azithromycine. On peut être contre, ou ne pas y croire, ce n’est pas une raison pour ne pas étudier cette proposition de prophylaxie.
Vous avez également une variant qui semble fonctionner et qui serait l’ivermectine avec aussi de l’azithromycine cocktail dans lequel certains médecins rajouteraient même un anti-coagulant léger afin d’éviter la formation de caillots de sang. Là aussi, aucune étude sérieuse.
La vaccination est l’alpha et l’oméga de la gestion de cette crise et de la stratégie sanitaire.
Si cela marche tant mieux.
Si cela échoue nous serons nus comme des vers.
AstraZeneca suspendu dans de plus en plus de pays !
Même les soignants n’en voulaient pas de ce vaccin tant il rend malade comme un chien…
Le commandant des pompiers des Bouches du Rhône a même du stoppé la vaccination de ses personnels devant la multiplication des effets secondaires.
C’est toute la confiance dans la stratégie bien mal pensée de nos dirigeants qui se fissure à grande vitesse.
C’est un fiasco annoncé !
Qu’aurait-il fallu faire ?
1/ Dire la vérité en tout temps, en toute circonstance. Quand on n’a pas de masque, on ne dit pas que les masques ne servent à rien. On dit qu’on en n’a pas, et qu’une écharpe devant le nez en attendant mieux sera toujours ça… et on se tient droit, fort et fier face au danger. Puis on se met à produire des masques et on en achète même si c’est un peu cher.
2/ On développe toujours une stratégie sur plusieurs axes. Pour mettre fin à une pandémie, vous avez l’immunité collective, la vaccination, ou… le soin !
Donc on développe autant les vaccins que les traitements potentiels. On laisse les médecins tester, inventer, essayer et observer ce qu’ils obtiennent. On facilite la circulation de l’information et la diffusion de ce qui semble les meilleures pratiques.
Au bout du compte, soit on trouvera un vaccin qui marche, soit on trouvera des traitements qui fonctionnent, mais on marche sur ces deux jambes.
Notre gouvernement et ceux qui nous dirigent, eux, marchent sur la tête.
Pour notre plus grand malheur.
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles Sanat
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