C’est l’histoire d’un hold-up sur la vie sociétale perpétré par le virus associé au camp du Bien.
Tout qui ose critiquer ou contester les mesures gouvernementales est aujourd’hui qualifié de complotiste et de conspirationniste. C’est au mieux un intriguant, au pire un délinquant, voire même un criminel.
La défonce politico-médiatique frise l’hystérisation. Certain(e)s, comme la nouvelle décérébrée ministérielle Zakia Khattabi, évoquent même déjà le « trumpisme » -si, si- pour disqualifier tous les contestataires, à commencer par celles et ceux qui s’opposent à son délétère projet de loi visant à taxer l’air que vous dégagez.
Plus personne n’a le droit d’ouvrir la bouche sous peine de passer pour un séditieux. Au fil des mois, des semaines et des jours, l’étau se resserre un peu plus sur la population de plus en plus enchaînée en esclavage.
Ils ne nous prennent plus pour des Terriens mais pour des animaux - souvent plus dignes, au demeurant, que la race humaine -. Hier, en pleine démonstration d'autorité, l'insipide Premier ministre français a déclaré que le temps n’était pas encore venu pour « desserrer la bride ». De Gaulle pensait que tous les Français étaient des veaux. Voilà maintenant qu’ils sont des chevaux. Qu’on abattra sans état d’âme à la première velléité venue.
Nous empruntons à notre magnifique et lucide ami Pierre Duriot la conclusion :
« Nous sommes les gentils, progressistes du camp du bien, alors nous pouvons tout nous permettre avec le peuple, c’est pour son bien. Liquider le petit commerce et les TPE et PME du pays, masquer les gamins et leurs parents, éloigner les étudiants de leurs professeurs, régenter les sorties, obliger les gens à se terrer chez eux, oser les discours coercitifs à des heures de grande écoute, décider sur la base de tests peu fiables et de chiffres de la mortalité bidonnés, traduire des médecins honnêtes devant la justice, instaurer un régime autoritaire en passant par dessus le parlement, faire revoter des amendements qui ne nous plaisent pas, critiquer les journalistes qui oseraient faire leur travail, verbaliser à tour de bras pour trois pas de trop, arrêter le tissu associatif et sportif, priver les citoyens de toute forme de plaisir, menacer les réveillons, débusquer les fêtes entre amis, priver les gens de coiffeur, d’esthéticienne, de belles fringues, les obliger à prendre leur café debout dehors, passer vérifier à la nuit tombante que personne ne traîne dans les rues… et en tirer le bilan sanitaire le plus calamiteux des pays les plus développés. Puisqu’on vous dit que c’est pour votre bien. »
Ainsi soit-il…
L’objecteur médiatique